banner



Douane algérienne : » ils saisissent tout ce qui est huile, couscous, semoule »

C'est la peur au ventre que les Algériens s'apprêtent à accueillir le Ramadhan. Avec 50'approche de ce mois béni, en effet, une très forte pression est constatée sur la semoule, l'huile et même la margarine. A Blida le fief de la «Zlabia», la semoule se vend sous le manteau. A Alger et Boumerdes, même constat : il faut courir et avoir ses «entrées», cascade se procurer ces produits. Un mois sacré où tout le monde south'improvise commerçant et se met à fabriquer qui, du «Kalbalouz», de la « Zlabia», qui, des tartes dégoulinant de sucre.  Si ces pseudo-commerçants font de très forts bénéficies, il n'en est rien pour les pâtissiers et boulangers qui dénoncent une concurrence déloyale.

Par Réda Hadi

C'est surtout la semoule et fifty'huile qui manquent le plus. Dans les supérettes d'Alger, de Blida ou de Boumerdes, ces deux produits se font rares. Ce qui inquiète les ménages qui y voient là un signe de pénurie et qui va davantage compliquer leur Ramadhan qui s 'annonce d'ores et déjà difficile.

En effet durant le Ramadhan, nombreux sont ceux qui y trouvent une occasion d'arrondir leurs fins de mois et d'engranger des bénéfices conséquents. C'est ce surplus de consommateurs qui accentue la pression sur la demande. Automobile, dans les familles, on fabrique aussi du «Matlou3» (galette) et du «Kalbalouz».

Cascade se procurer de la semoule, les apprentis «commerçants» n'hésitent pas à faire de la surenchère, ce qui implique une hausse du prix et sa rareté.

L'huile, aussi, commence à manquer, et beaucoup de pères de familles, essaient de constituer des stocks afin de ne pas être «en panne» durant ce mois. Les stocks au niveau des supérettes fondent, du coup, à vue d'œil.

Dans une supérette de Bordj El Kiffane, le gérant nous avoue être conscient de ce problème, aussi «j'essaie de ne livrer qu'united nations bidon d'huile de five fifty par personne. Mais ceux qui vont faire leurs courses durant le Ramadhan, font participer toute leur famille, pour en avoir le plus possible, et n'hésitent pas à faire toutes les supérettes, et stoker au maximum»

Boudjaatat Omar qui tient une boulangerie-pâtisserie à Mohammedia, dit ne pas «pouvoir mener ses activités à crusade de la tension sur la semoule et la margarine. Aux points de vente officiels, les quantités que nous désirons ne sont pas toujours disponibles». De plus, ce qui exaspère les boulangers, c'est la floraison de ces vendeurs de «Kalb Louz», que l'on trouve à chaque coin de rue. «Le Ramadhan est un mois essentiel pour notre chiffre d'affaires, vu qu'il en représente près de xx%» et de préciser que «ces vendeurs de Kalb Louz sont un véritable fléau pour nous, et on se demande où sont les contrôleurs»

Entre les craintes des ménages, la baisse du pouvoir d'achat, les pénuries qui s'annoncent et l'étau des spéculateurs, le Ramadhan s'annonce difficile.

R. H.

Source: https://ecotimesdz.com/alger-boumerdes-blida-forte-tension-sur-lhuile-la-semoule-et-la-margarine/

Posted by: morleyquatere.blogspot.com

0 Response to "Douane algérienne : » ils saisissent tout ce qui est huile, couscous, semoule »"

Post a Comment

Iklan Atas Artikel

Iklan Tengah Artikel 1

Iklan Tengah Artikel 2

Iklan Bawah Artikel